Saint Avertin, diacre
En 1162, le moine anglais Aberdeen (Avertin par déformation) accompagne saint Thomas Beckett, archevêque de Cantorbéry lors de son exil en France. Après le retour et l'assassinat de ce dernier dans sa cathédrale, par des partisans du roi Henri II d’Angleterre le 29 décembre 1170, Avertin revint en Touraine et décida de vivre en ermite dans les bois de Cangé. De toutes parts, on vint alors le consulter puis, cédant aux prières des habitants, il deviendra le premier curé de la paroisse de la ville qui porte son nom depuis 1371 : Saint-Avertin.